Comme nous l’avons déjà mentionné, le sarouel homme Islam est un vetement universel originaire d’Asie. A ce titre, il ressemble à une sarouel particulier ; celui qui était revêtu par les samouraïs. Quelles étaient donc les caractéristiques particulières du sarouel de ces combattants japonais et qui étaient-ils eux-mêmes ?
Le hakama
Les samouraïs portaient un habit qui était à la fois ample et élégant. Son amplitude permettait de se donner un maximum de liberté de mouvement au combat notamment. Au pays du soleil levant, cet habit est nommé hakama. Le bleu marine et le noir constituaient les deux couleurs traditionnelles d’antan généralement utlisées chez les japonais. Au cours des entraînements que suivaient les samouraïs, de tels habits étaient mis à rude épreuve. Le confort offert par sa coupe particulière était adapté aux mouvements rapides qu’exécutent les jambes dans la discipline qu’ils pratiquaient. Les sarouels des samouraïs résistaient très bien aussi dans le temps. Son tissu de fabrication comporte à la fois du lin et du coton ayant une bonne épaisseur. On avait pour habitude de confectionner ce type d’habit en utilisant deux bandes de tissus similaires qui étaient pliées au centre et cousues l’une avec l’autre. Grâce à son modèle de réalisation, ce genre de sarouel convient à tous types de morphologies. Ainsi, une personne ayant une forte corpulence peut tout à fait trouver un sarouel japonais de sa convenance.
Un histoire incertaine
Au cours de la féodalité du Japon, il s’est vu se développer sur cette zone insulaire, un groupe guerrier qui avait pour fonction de maintenir en place le pouvoir. Cette sorte de confrérie perdura pendant sept siècles. La mention même du mot de samouraï est présente au sein d’un texte datant du 10ème siècle. La signification de ce mot renvoie au fait de servir, car il est dérivé du verbe saburau qui veut dire servir. Ces véritables militaires de métier comportaient dans leur armée une faction d’archers cavaliers. Votre fournisseur de sarouel homme Islam (voir plus) vous informe par ailleurs que l’histoire de leur origine est incertaine et sujette à discussion. Il a été dit qu’ils auraient été formés pour combattre les Aïnous, ou bien sous l’influence de cavaliers archers nomades qui traversaient l’île pour faire des représentations. Il a aussi été avancé le fait que leur fondation aurait vu le jour de par des interactions avec les Emishi et des affrontements avec eux. Il a également été dit que les samouraïs auraient été des gardes du palais de l’empereur.
La vie d’un samouraï
Les samouraïs étaient en quelque sorte les chevaliers du Japon. Lorsqu’un samouraï avait un fils, celui-ci allait alors être contraint à subir une discipline de fer. On le privait très vite des soins affectifs prodigués d’habitude par la mère. De plus, on l’éduquait dans le sens à rejeter tout désir d’affection dès la tendre enfance. La notion même de plaisir était contrôlée en proscrivant tout plaisir pris dans des temps d’oisiveté. De même, on privait l’individu de tout confort, exception faite lorsqu’il se retrouvait en proie à de la maladie. Le jeune samouraï été ensuite sermonné sur ce que devait constituer sa vie à partir du moment où il faisait usage de la parole. On lui inculquait alors le sens du devoir comme étant sa ligne de conduite à adapter en toutes circonstances. Puis, le contrôle de son entité propre était établi en tant que conduite élémentaire de vie à laquelle il fallait se résoudre pleinement. La souffrance ainsi que la mort étaient deux facteurs qui devaient lui paraître comme étant insignifiants. Afin de fabriquer des êtres totalement dépourvus de toute sensibilité et d’émotions, on les soumettait à la vue d’exécutions face auxquelles ils devaient rester totalement impassibles. La crainte des morts constituait aussi une chose sur laquelle on éduquait les jeunes garçons au rejet absolu. Pour mener cela, on envoyait les jeunes samouraïs chercher tout seul la tête d’un individu exécuté. Toutes sortes de peurs devaient d’ailleurs être combattues. De plus, l’esprit fanfaron était honnis et figurait au même titre que la lâcheté.
Armes élémentaires du samouraï
Un samouraï avait à sa disposition un arsenal d’une quarantaine d’armes. Parmi elles figurait spécialement le katana. Votre expéditeur de sarouel homme Islam se doute que vous devez certainement connaitre cette arme du fait de sa grande popularité mondiale. Cette arme est un sabre possédant une grande envergure. Seul un samouraï pouvait porter cette arme qui représente à elle seule la caste des samouraïs. C’est une arme d’estoc et de taille, c’est-à-dire dont l’utilisation se fait par la pointe et par la longueur du tranchant. Sa longueur est variable et il est manié généralement à l’aide des deux mains. Le samouraï était versé dans la connaissance des arts martiaux qui étaient pratiqués dans le temps, c’est-à-dire ceux relatifs avant 1868. Il est à noter aussi que dès l’âge de 15 ans ans, un adolescent sur la voie des samouraïs se voyait attribuer au cours d’une cérémonie, un wakizashi qui est lui un sabre de petite taille. Ensuite, l’arc constituait de même une arme de grande importance dans la vie de ces combattants de jadis.
L’armure et le bâton de commandement
Pour se protéger contre les coups assénés par ses adversaires, le samouraï revêtait aussi une armure imposante. Elle pouvait selon les modèles recouvrir l’intégralité du corps de la tête aux pieds. L’armure a été confectionnée de manière à ce que la liberté de mouvement ne soit pas entravée. Il est à savoir qu’en temps de guerre, des dizaines de milliers de combattants pouvaient s’engager dans la bataille. Afin de recevoir des ordres de manière coordonnée, les samouraïs employaient alors à ce moment-là un bâton de commandement.
La fin des samouraïs
En 1867, la restauration de Meiji qui a vu l’empereur reprendre le pouvoir au japon, signe la fin de l’ère des samourais. Cela se réalise sous l’impulsion d’une ouverture au commerce externe à la zone insulaire du Japon. De nouvelles réformes apparaissent et les samouraïs perdent notamment le droit de porter le katana et des noms de famille. Leurs propriétés sont abolies dans un premier temps en 1871, puis transformées en obligations d’Etat en 1876. Il en résulte que deux révoltes éclatent auxquelles participent une partie des samouraïs. Ils seront écrasés par l’armée impériale. L’héritage qu’ils laissent restera imprégné comme aspect culturel du Japon. Il figure parmi cela leur sarouel spécifique, ressemblant au sarouel homme Islam.