Votre commercial dans la vente du pot 7 guérisons vient à vous aujourd’hui pour aborder de nouveau la thématique si fascinante du monde des abeilles, nos chères petites amies ailées ! Notre sujet à pour vocation de vous présenter une abeille typiquement européenne : L’Apis Mellifera, que vous avez sans doute croisée plus d’une fois au cours de votre vie et dont vous ignoriez peut-être le nom jusqu’à aujourd’hui !
La mouche à miel
C’est sous ce surnom ou sous le surnom de ‘’Avette’’, qu’est nommée parfois Apis Mellifera, notre grande fournisseuse de miel en Europe. Bien qu’étant, comme dit précédemment, une abeille européenne, elle est aussi une abeille dont on retrouve la présence aux quatre coins du globe, puisque sa présence est avérée absolument partout, sauf en Antarctique. On trouve pas moins de 28 sous-espèces de cette abeille et toutes les espèces confondues ont la capacité de se féconder les unes aux autres pour la reproduction. Les plus utilisées parmi elles dans la production du miel sont ; La Buckfast, la Mellifera qui est de couleur noire, la Ligustica d’Italie, la Carnica et la Caucasica qui provient de la région du Caucase. Cette catégorie d’abeille dont le thorax poilu possède une couleur jaunâtre, appartient aux abeilles semi-domestiques. Les humains qui ont observé son fort potentiel de production, se sont mis à l’élever afin de l’exploiter à grande échelle. En effet, si l’on considère son étymologie, le nom latin qui lui a été donné signifie ‘’ Abeille qui donne du miel.’’ L’effet pollinisateur que produit cette espèce d’abeille est aussi tout à fait exceptionnel puisqu’elle est à ce niveau-là la première de sa catégorie dans le monde. Ce petit insecte ailé va, au cours de sa vie, s’afférer à stocker ses réserves de miel au cours du printemps et de l’été, pour pouvoir ensuite le consommer pendant l’hiver.
Une société organisée
Au sein de cette communauté extraordinaire, des différences sociales et morphologiques existent. Votre expéditeur du pot 7 guérisons vous en parle. On dit ainsi que les abeilles appartiennent à un mode de vie ”eusocial”, c’est-à-dire qui est régit dans un modèle de société organisé sous forme de castes. On a notamment chez les abeilles les individus fertiles qui sont reproducteurs et d’autres dont la mission est d’œuvrer uniquement pour la ruche sans se reproduire. Le mâle a la particularité d’être le seul à ne pas être fécondé à la différence des abeilles ouvrières et de la reine. Cette dernière se situe au sommet de la ruche, et possède une taille qui se situe entre 18 et 22 millimètres. Son rôle essentiel est de pondre des œufs vers la fin de l’hiver. Les ouvrières quant à elles mesurent de 12 à 15 millimètres dans ce qui est connu en Europe, mais ailleurs, en Afrique, leur taille est inférieure à cela. Puis viennent enfin, les faux bourdons qui sont les mâles de la colonie. Eux ont une taille comprise entre 15 et 17 millimètres et ils font leur apparition au printemps. Parmi leurs caractéristiques, il y a le fait qu’ils sont dépourvus de dard ainsi que de corbeille à pollen. La ruche dans laquelle vit tout ce petit monde est composée de très nombreux individus puisque 40.000 à 80.000 congénères vivent au sein de la ruche durant l’été. Ce chiffre est toutefois dix fois moins important lors du déroulé de l’hiver.
Autour du cycle de vie des abeilles
La durée de vie d’une abeille ouvrière est étroitement liée au milieu dans lequel elle habite. Dans les coins où les hivers sont relativement longs, l’abeille ne perdure que peu de temps. Un autre facteur qui conduit à écourter sa vie, est lorsque parmi les abeilles certaines naissent au cours du printemps. Elles vont devoir alors beaucoup travailler pour subvenir aux besoins de la ruche et ce travail intensif va les conduire peu à peu vers une mort prématurée par rapport à leur espérance de vie estimée sous d’autres facteurs. Votre fournisseur en pot 7 guérisons vous communique ainsi que celles qui naissent au printemps vivent entre quatre à six semaines seulement, tandis que celles qui sont nées en automne, et traversent donc l’hiver, vivent entre quatre à six mois. Cela fait une différence d’âge très significative. Les ouvrières nées en automne ont un corps dont la constitution est plus riche en acide gras. Leur rôle va se définir à ce moment-là dans la protection de leur reine ainsi qu’à la survie de l’ensemble de la colonie. Elles vont également avoir pour mission de préparer la venue des nouvelles générations d’abeilles. On estime par ailleurs que sous des conditions normales de vie, 1% des abeilles meurent chaque jour.
Les missions des abeilles ouvrières
Les abeilles sont à l’instar des fourmis, de très grandes laborieuses. Les différentes tâches divisées entre elles sont nombreuses. C’est ainsi que l’abeille ouvrière est attitrée à diverses tâches suivant un ordre chronologique tout au long de sa vie. Elle débute par le nettoyage de la ruche, puis elle revêt le rôle de nourricière des nouvelles larves. Ensuite, l’abeille ouvrière enfile le métier de cirière qui va avoir pour objectif d’agrandir les rayons de la ruche. Plus tard, elle va devoir réceptionner le nectar en provenance des fleurs par l’intermédiaire des abeilles butineuses pour en transférer ensuite le miel qui à été ingurgité dans leur couvain. Puis, à une autre étape de leur existence, ces abeilles toujours très actives deviennent à présent des gardiennes de la ruche contre tout prédateur tels que guêpes et frelons et même contre d’autres abeilles étrangères à la ruche qui viennent pour en voler le précieux liquide. L’évolution des responsabilités de l’abeille en font ensuite une ventileuse de la ruche afin d’en réguler son niveau thermique à une température ambiante appropriée. Enfin et dans un dernier temps, les abeilles ouvrières s’envolent à l’extérieur de la ruche dans un rayon de 2,5 kilomètres pour butiner à leur tour différentes sources d’énergie nécessaires à la production du miel de notre pot 7 guérisons. C’est ainsi que nos chères petites abeilles s’en vont en quête de pollen, de miellat, de nectar, de propolis (une substance résineuse ambrée) mais aussi d’eau…